enlarge | 1. Jean-Luc Marion, La banalité de la saturation | |
2. Jean-Luc Marion, Le possible et la révélation |
Obscurité d'où suinte lueur. Elle perce le fond s’affirme lumière, dont l’éclat retombe, enfoncé. Voyant ce que je vois, j’y vois l’obligatoire obscurité, que créé ainsi l’excès trop net de la lumière1. De ce qui apparaît et disparaît, de ce qui se révèle, je n’en ai aucune idée, aucune esquisse, aucune attente. Il se pourrait que le je n’en éprouve aucun vécu. C’est une « nuit des sens », où le révélé se rend instant justement parce qu’il ne se laisse pas éprouver2.
Capture
Vevey, 27.10.2015
Sony ILCE-7, Sony SAL 4.5-5.6/70-300G-SSM-II ; gauche : 135 mm, f 5.6, 1/1000, iso 100 ; centre : 135 mm, f 5.6, 1/500, iso 100 ; droite : 3000 mm, f 5.6, 1/1000, iso 100
Edition
Triptyque .arw > .psd, 3777 x 18880 px, images, chacune, 3777 x 5666 px, 24.04.2018
Epreuves
Canon Pixma pro-10
3, Canon photo pro platinum, 24 x 48 cm, images, chacune, 8.8 x 13.2 cm, 25.06.2018
Texte et liens
Vevey, 26.02.2019