Le désastre emporte tout. Sans lieu, sans présence ; sans présent, passé ou avenir, il est sans temps : comme la mort. Il n’y a ni lieu ni temps dans la mort (la tombe, l’au-delà, le « ciel », les « étoiles », les pensées de temps posthume, de vie d’après, d’infini ne sont que de commodes symboles pour la fausse espérance des vivants). Celui qui reste, en désastre, reste sans lieu, sans temps.
Capture
Vevey, 16.01.2018
Sony ILCE-, Sony SAL 4.5-5.6/70-300G-SSM-II, 70 mm, f 22, 1/8, iso 50 (gauche et droite)
Edition
Diptyque .arw > .psd, 12200 x 4000 px, images, chacune, 6000 x 4000 px, 12.12.2024
Epreuves
Canon Pixma pro-10
3, Canon photo pro platinum, 42 x 29.7 cm ; images, chacune 18 x 12 cm, 15.12.2024
Texte et liens
Vevey, 24.12.2024